La bonne vie
de Kathleen Missud
André Lepetit, mon grand-père maternel, né en 1945, a grandi à Razès, un village à 25 km de Limoges dans une famille de meuniers avec un salaire pour huit. Pas d’écarts, pas de festivités, pas de sorties, jamais de vacances.
Il découvre la montagne lors d’un voyage scolaire
et la mer l’année du certificat d’études. À 14 ans, il part à l’aventure en mobylette jusqu’au Mont Dore, et à la Rochelle l’année suivante. Depuis sa soif d’aventure ne le quitte jamais.
André, c'est le bricoleur, l'anventurier, le pêcheur...
le collectionneur (motos, voitures, couteaux, bibelots, horloges, appareils photos...), le champion de France de tracteur tondeuse en 1988, le photographe amateur. À 79 ans, il continue de sillonner la France et vivre une partie de l’année en camping-car. C'est grâce à lui que je suis devenue photographe.
J'avais 3 ans,
quand il m'a offert un appareil photo en jouet et à mes 16 ans un Zénit 35mm. Mon amour du voyage et de l'aventure, c'est aussi grâce à lui : dès l'âge de 6 mois, il m'emmène avec lui dans son camping-car.
Fascinée par les albums de famille depuis petite
je lui emprunte en 2023 toutes ses archives et je découvre alors des centaines de diapositives de ses vacances et ses moments entre amis, qui donneront lieu à La Bonne Vie.
Une « tranche de vie », comme il dit, « c’était la vie de tous les jours, la bonne vie, on n'était pas exigeant ».
Une « tranche de vie », comme il dit, « c’était la vie de tous les jours, la bonne vie, on n'était pas exigeant ».
Accrochez des histoires…
Comme Père Castor, racontez à vos proches l'histoire de votre photographie préférée. En prime, la livraison est gratuite !
La photographe
Kathleen Missud
Kathleen est une photographe sensible qui a un grand sens de l'esthétisme. Avec sa série "La bonne Vie", elle crée des ponts entre les générations, rendant hommage à une époque révolue, à la vie de son grand-père, à une classe sociale et à une vision de la vie via son regard contemporain, le tout avec beaucoup d'humour.
En savoir plus sur Kathleen
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Chez Totor, à la croisée des solitudes
C'est un rendez-vous que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. On y vient pomponné, bien sapé, le dimanche après-midi, c'est bal musette, chez Totor, dans le petit village de Publier, sur les hauteurs du Lac Léman en Haute-Savoie.
Les fleurs de cimetière
Son corps est parsemé d’une myriade de grains de beauté. Cette mosaïque brune est la partie visible d’une maladie génétique rare et héréditaire : Xeroderma
Pigmentosum. Elle se traduit par une extrême sensibilité de la peau à la lumière.
Pigmentosum. Elle se traduit par une extrême sensibilité de la peau à la lumière.
Les avantages de la galerie
Qualité irréprochable
Grâce à un système d’encadrement fabriqué par un artisan encadreur, des laboratoires d’impression professionnels et du papier photo Hahnemühle reconnu dans le monde entier pour sa qualité, vous allez être bluffés du rendu.
100% made in France
Que ce soit les tirages, nos partenaires d’impression et d’encadrement, tous situés dans le sud-ouest de la France, la fabrication des cadres et même nos photographes, tout est Français !
Rémunération équitable
La part reversée aux photographes est pour nous une priorité. Ils sont rémunérés à hauteur de 50% des bénéfices. Aucune contribution financière ne leur est demandée pour apparaître sur la galerie et la publicité que nous leur faisons est gratuite, car sans eux nous n'existerions pas.
Égalité homme-femme
L’égalité est le futur de nos sociétés, c’est pourquoi les publications, le référencement et les mises en avant sont équivalents entre nos photographes hommes et femmes. Nous tentons également en permanence de maintenir la parité entre tous les photographes.