Immaqa
de Théo Giacometti
Nous sommes début janvier partout sur la planète et l’hiver est déjà bien installé dans l’hémisphère nord. Le monde grouille et s’agite, vend, achète et transporte, à toute vitesse. Mais ici, au Groenland, l’agitation semble lointaine...
Des températures plus froides qu’un congélateur
Au Groenland est plantée une île minuscule Akunnaaq. 70 habitants inuits dont la plupart sont chasseurs, une cinquantaine de petites maisons, moins d’une dizaine est équipée en eau courante. Ni route ni arbre à des centaines de km à la ronde, une école avec moins de dix enfants. Ni hôtel, ni restaurant, ni médecin.
Conséquences concrètes du réchauffement climatique
Pratiques traditionnelles de la pêche et de la chasse, revendications nationalistes, désertification des villages et quotidien de l'hiver arctique : la survie de leur village est un enjeu majeur pour la population.
Ce village pourra-t-il survivre ?
115 habitants en 2013, 70 en 2018, difficile de résister à l'appel des villes pour les jeunes à la recherche d'avenir. Ce village pourra-t-il survivre et défendre sa culture et ses traditions ?
Immaqa, me répond-on. Peut-être.
Immaqa, me répond-on. Peut-être.
Chaque jour la glace est encore trop fine
Alors que les territoires arctiques se retrouvent rapidement au centre de nouvelles guerres commerciales et industrielles, notamment avec l’ouverture du passage du Nord-Ouest, l’arrivée des croisières touristiques et les nouvelles autorisations de recherche de ressources pétrolières, les peuples Inuits peinent à défendre leur culture et leur mode de vie.
Participe au grand tout mondialisé
Capitalise, achète et revend ou disparait... Toi, tes eaux froides et tes phoques, semble-t-on leur crier. Après que les colons danois les ai forcés à se convertir à la chrétienté, puis à s’établir en villages sédentaires, dans des maisons occidentales, voilà qu’aujourd’hui le monde moderne écrase le peu qu’il reste de leur culture et de leur mode de vie.
Accrochez des histoires…
Comme Père Castor, racontez à vos proches l'histoire de votre photographie préférée. En prime, la livraison est gratuite !
Le photographe
Théo Giacometti
Le travail de Théo nous transporte systématiquement. Il écrit aussi bien avec ses mots qu'avec ses images. Les histoires qu'il nous raconte sont passionnantes, allant d'un village Inuit, à des villes étouffantes de monde et d'inégalités.
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I’m not from here
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Marseille poussière
Casiers pourris, fourmilières mortes.
Acide, poussière, ascenseurs.
Quel étage ?
Bâtiment B
Ou je ne sais plus - tout pareil.
Répétition, mathématique - modernité.
Acide, poussière, ascenseurs.
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Bâtiment B
Ou je ne sais plus - tout pareil.
Répétition, mathématique - modernité.
Quelques étés
Il nous reste quelques étés
Ça finit toujours avec une petite musique triste, mais qu’on aime bien, quand on dit au revoir aux copains et qu’on sait qu’il faut grandir encore.
Vieillir déjà.
Ça finit toujours avec une petite musique triste, mais qu’on aime bien, quand on dit au revoir aux copains et qu’on sait qu’il faut grandir encore.
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Convento
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Les avantages de la galerie
Qualité irréprochable
Grâce à un système d’encadrement fabriqué par un artisan encadreur, des laboratoires d’impression professionnels et du papier photo Hahnemühle reconnu dans le monde entier pour sa qualité, vous allez être bluffés du rendu.
100% made in France
Que ce soit les tirages, nos partenaires d’impression et d’encadrement, tous situés dans le sud-ouest de la France, la fabrication des cadres et même nos photographes, tout est Français !
Rémunération équitable
La part reversée aux photographes est pour nous une priorité. Ils sont rémunérés à hauteur de 50% des bénéfices. Aucune contribution financière ne leur est demandée pour apparaître sur la galerie et la publicité que nous leur faisons est gratuite, car sans eux nous n'existerions pas.
Égalité homme-femme
L’égalité est le futur de nos sociétés, c’est pourquoi les publications, le référencement et les mises en avant sont équivalents entre nos photographes hommes et femmes. Nous tentons également en permanence de maintenir la parité entre tous les photographes.