Théo Giacometti
Le travail de Théo nous transporte systématiquement. Il écrit aussi bien avec ses mots qu'avec ses images.
Les histoires qu'il nous raconte sont passionnantes, allant d'un village Inuit, à des villes étouffantes de monde et d'inégalités.
Les histoires qu'il nous raconte sont passionnantes, allant d'un village Inuit, à des villes étouffantes de monde et d'inégalités.
Photo-reporter indépendant, il vit et travaille à Marseille où il réalise des reportages, pour la presse ou des ONG, principalement autour des questions sociales et environnementales.
Curieux des mécanismes sociaux et des humains qui façonnent notre société, il s’intéresse à de nombreux univers et aime partager et raconter les histoires qu’il traverse.
Il s'est formé au portrait auprès de Richard Dumas et Eyes in Progress.
Depuis plusieurs années, il consacre aussi une partie de son temps à l’organisation d’ateliers photographiques pour des publics défavorisés : sociaux, mineurs isolés, centres d’addictologie, jeunes aidants.
Plusieurs médias ont publié son travail : The Guardian, The New York Times, Libération, Le Monde, The Washington Post, Courrier International, Télérama, Society, L'Humanité, Les Inrocks, Geo Ado, Reporters Sans Frontière, Fisheye Magazine, Le Figaro Magazine, Pelerin, La Croix...
Curieux des mécanismes sociaux et des humains qui façonnent notre société, il s’intéresse à de nombreux univers et aime partager et raconter les histoires qu’il traverse.
Il s'est formé au portrait auprès de Richard Dumas et Eyes in Progress.
Depuis plusieurs années, il consacre aussi une partie de son temps à l’organisation d’ateliers photographiques pour des publics défavorisés : sociaux, mineurs isolés, centres d’addictologie, jeunes aidants.
Plusieurs médias ont publié son travail : The Guardian, The New York Times, Libération, Le Monde, The Washington Post, Courrier International, Télérama, Society, L'Humanité, Les Inrocks, Geo Ado, Reporters Sans Frontière, Fisheye Magazine, Le Figaro Magazine, Pelerin, La Croix...
Plusieurs de ses photographies sont classées au sein d’un Musée de France.
• Arles Exposition collective avec la Galerie Triangle
• "La Jonction - Histoire d'Arnauds et d'Arnaudville" - 2018
• « Reg’Art d’ados » - 2018
• « Trajectoires » au Conseil Départemental des Hautes-Alpes- 2019.
• « Artistes en Arctique » - 2019.
• « Sortir de l’Ombre : Soutenir la désistance » - 2019
• "LeicaAtHome" Exposition du 7 juillet 12 septembre au Leica Store de Paris
• "Lusted Men" Exposition du 7 au 23 janvier 2021 au Festival PhotoSaintGermain #10
• "Journalistes vos Papiers" Exposition au Musée Regards de Provence 2021
• « Pêche durable au-delà des clichés » Fisheye Gallery, Paris, juin 2021.
• Festival Phot’Aix - Regards croisés avec l’Italie. Coup de cœur du Jury - octobre 2021.
Membre de l'Observatoire Photographique des Pôles
Trésorier de l'UPP (Union des Photographes Professionnels)
Méditerranée Membre du Club de la Presse de Marseille
Finaliste de la Bourse "Journalistes vos papiers" 2019 & 2020
Finaliste 2018 et 2019 de la Bourse IRIS / Terre Sauvage
Mon premier roman « Puisque chante la nuit », publié en 2013 aux Éditions AO - André Odemard, a reçu la médaille de l’Assemblée Nationale.
« ¡Adios España! » est sorti en mars 2018. Novembre 2019. Mon travail sur le mal logement est publié dans le livre Rue D’Aubagne, Récit d’une rupture aux éditions Parenthèses.
Une enquête de Karine Bonjour.
• Arles Exposition collective avec la Galerie Triangle
• "La Jonction - Histoire d'Arnauds et d'Arnaudville" - 2018
• « Reg’Art d’ados » - 2018
• « Trajectoires » au Conseil Départemental des Hautes-Alpes- 2019.
• « Artistes en Arctique » - 2019.
• « Sortir de l’Ombre : Soutenir la désistance » - 2019
• "LeicaAtHome" Exposition du 7 juillet 12 septembre au Leica Store de Paris
• "Lusted Men" Exposition du 7 au 23 janvier 2021 au Festival PhotoSaintGermain #10
• "Journalistes vos Papiers" Exposition au Musée Regards de Provence 2021
• « Pêche durable au-delà des clichés » Fisheye Gallery, Paris, juin 2021.
• Festival Phot’Aix - Regards croisés avec l’Italie. Coup de cœur du Jury - octobre 2021.
Membre de l'Observatoire Photographique des Pôles
Trésorier de l'UPP (Union des Photographes Professionnels)
Méditerranée Membre du Club de la Presse de Marseille
Finaliste de la Bourse "Journalistes vos papiers" 2019 & 2020
Finaliste 2018 et 2019 de la Bourse IRIS / Terre Sauvage
Mon premier roman « Puisque chante la nuit », publié en 2013 aux Éditions AO - André Odemard, a reçu la médaille de l’Assemblée Nationale.
« ¡Adios España! » est sorti en mars 2018. Novembre 2019. Mon travail sur le mal logement est publié dans le livre Rue D’Aubagne, Récit d’une rupture aux éditions Parenthèses.
Une enquête de Karine Bonjour.
Coup de 💜
La maison bleue
Malgré le peu de luminosité et une ambiance glaciale, nous adorons comment Théo a réussi à rendre cette maison des plus accueillante. Et vous quelle est votre photographie coup de cœur ?
“ Je fais des photos parce que j'ai envie de raconter la vie des gens. ”
Les séries de Théo Giacometti
De chez lui Marseille, en passant par les Inuits au Groenland ou les États-Unis, découvrez sa vision du monde à travers ses images.
I’m not from here
Tout commence dans un avion, comme souvent. Ou dans un aéroport, on sait jamais. Ça fait du bruit, ça court, ça gueule. Des foules de gens serrés comme il n’en existe plus. Je cherche le vol pour Las Vegas, en me demandant bien ce qui m’a pris. Je viens te rejoindre.
Immaqa
Nous sommes début janvier partout sur la planète et l’hiver est déjà bien installé dans l’hémisphère nord. Le monde grouille et s’agite, vend, achète et transporte, à toute vitesse. Mais ici, au Groenland, l’agitation semble lointaine...
Marseille poussière
Casiers pourris, fourmilières mortes.
Acide, poussière, ascenseurs.
Quel étage ?
Bâtiment B
Ou je ne sais plus - tout pareil.
Répétition, mathématique - modernité.
Acide, poussière, ascenseurs.
Quel étage ?
Bâtiment B
Ou je ne sais plus - tout pareil.
Répétition, mathématique - modernité.
Quelques étés
Il nous reste quelques étés
Ça finit toujours avec une petite musique triste, mais qu’on aime bien, quand on dit au revoir aux copains et qu’on sait qu’il faut grandir encore.
Vieillir déjà.
Ça finit toujours avec une petite musique triste, mais qu’on aime bien, quand on dit au revoir aux copains et qu’on sait qu’il faut grandir encore.
Vieillir déjà.
Les autres photographes de la galerie
Nicolas Serve
D’une sensibilité exacerbée, Nicolas nous plonge dans son univers et sa vision du monde avec beaucoup de sincérité et d’émotion. La frontalité avec laquelle il aborde les sujets se ressent dans ses photographies toujours réalisées avec une maitrise parfaite de l’image et de l’écriture.
Caroline Fernandez
C'est un doux voyage dans nos souvenirs, dans notre quotidien aussi, que nous propose Caroline. Remplies de sensibilité de douceur et de simplicité, ses images nous amènent dans son univers aux nombreuses références cinématographiques et littéraires.
Orianne Ciantar Olive
Orianne est une vraie touche à tout. En perpétuelle évolution pour acquérir de nouveaux savoirs, connaître de nouvelles approches, elle affine son regard au fil de son parcours. Sensible et touchante, elle traite des sujets profonds avec beaucoup de justesse.
Benjamin Mengelle
Son expérience de cameraman donne aux images de Benjamin une ambiance cinématographique. Elles semblent intemporelles. Son regard est profond, sensible, rempli de poésie.