Sarah Witt
Un doux mélange de pudeur et de délicatesse se fond dans les photographies de Sarah et reflète sa personnalité. Ses images sont vivantes, poétiques et abordent des thématiques complémentaires qui nous permettent une forme d’évasion tout en se plongeant dans des sujets passionnément intimes.
Diplômée de Sciences Po, Sarah Witt approche la photographie de manière autodidacte et s’installe en 2019 en tant que photographe indépendante au Pays Basque. Passionnée d’argentique, elle se forme aux techniques de développement en chambre noire et tirage à la main. Elle cherche à conserver une démarche artistique dans son travail quotidien et favorise, dès que possible, le retour à la pellicule. Son premier travail personnel « La Vague » porte sur l’univers fantasmé du surf et a été présenté dans différentes expositions en France. Pour son second travail documentaire « Les fleurs de cimetière », elle fait partie des finalistes du prix Jeunes Talents 2023. En tant que photojournaliste, Sarah collabore également avec des médias tels que Le Monde, Zadig et Libération. Elle est engagée auprès de Elles font la culture, un service du Ministère de la Culture visant à réduire les inégalités de genre dans le domaine de la photographie. Plus récemment, elle fonde en 2022, avec l’architecte et photographe Matthieu Fares, le collectif Phosphore ayant pour thème l’étude des îles de la Méditerranée.
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES
- La Vague, Galerie Poltred, Lyon 2020
- A Day in Siargao, Les Matins Blancs, Paris 2019
- Voyage à Deux, Le Troisième Café, Paris 2019
- Invitation au Voyage, Le Hasard Ludique, Paris 2018
EXPOSITIONS COLLECTIVES
- Les fleurs de cimetière, Galerie Triangle, Arles 2023
- La Vague, Galerie Polka, Paris 2023
- Analog Sport Festival, Espace Voltaire, Paris 2021
- Comme en plein jour, Galerie Hors Cadre, Biarritz 2021
- Hors les Murs, Galerie La Taille de Mon Âme, Lyon 2021
- Caras Cubanas et Colors of India, Galerie Poltred, Lyon 2019
PRIX
“Les Fleurs de cimetière” - Finaliste du Prix Jeunes Talents 2023, par les Agents Associés
PUBLICATIONS
- Cette forêt est notre oxygène, Libération 2023
- Le Pays Basque sous tension, Zadig le mag 2023
- Nos enfants exclus de leur territoire, Le Monde 2022
- Ces agriculteurs qui font chambre à part, Sphères 2022
- Mouvement #metoo : 5 ans après, Le Monde 2022
- L’Etat contre les hijabeuses, i-D Vice 2022
- Les ensoutanés, Les Jours 2022
- Le pouvoir de la monnaie, Zadig le mag 2021
- La Vague, Galerie Poltred, Lyon 2020
- A Day in Siargao, Les Matins Blancs, Paris 2019
- Voyage à Deux, Le Troisième Café, Paris 2019
- Invitation au Voyage, Le Hasard Ludique, Paris 2018
EXPOSITIONS COLLECTIVES
- Les fleurs de cimetière, Galerie Triangle, Arles 2023
- La Vague, Galerie Polka, Paris 2023
- Analog Sport Festival, Espace Voltaire, Paris 2021
- Comme en plein jour, Galerie Hors Cadre, Biarritz 2021
- Hors les Murs, Galerie La Taille de Mon Âme, Lyon 2021
- Caras Cubanas et Colors of India, Galerie Poltred, Lyon 2019
PRIX
“Les Fleurs de cimetière” - Finaliste du Prix Jeunes Talents 2023, par les Agents Associés
PUBLICATIONS
- Cette forêt est notre oxygène, Libération 2023
- Le Pays Basque sous tension, Zadig le mag 2023
- Nos enfants exclus de leur territoire, Le Monde 2022
- Ces agriculteurs qui font chambre à part, Sphères 2022
- Mouvement #metoo : 5 ans après, Le Monde 2022
- L’Etat contre les hijabeuses, i-D Vice 2022
- Les ensoutanés, Les Jours 2022
- Le pouvoir de la monnaie, Zadig le mag 2021
Coup de 💜
Les deux palmiers
Pourvue de belles nuances de gris et d’une ambiance chaude et aride, nous adorons l’histoire que cette photographie nous raconte, la fragilité des éléments et la touche d’humour qu’elle véhicule sans pouvoir pour autant la placer dans le temps. Comme une ode à la résilience et à l’intemporalité.
Les séries de Sarah Witt
Les fleurs de cimetière est une série extrêmement touchante. C’est le regard d’une fille sur sa mère, sur sa maladie héréditaire, sur la beauté et la menace qu’elle représente. Des photographies intimes, pudiques et délicates.
La Vague
Immergée dans l’eau, la perception du temps n’est plus la même.
Les fleurs de cimetière
Son corps est parsemé d’une myriade de grains de beauté. Cette mosaïque brune est la partie visible d’une maladie génétique rare et héréditaire : Xeroderma
Pigmentosum. Elle se traduit par une extrême sensibilité de la peau à la lumière.
Pigmentosum. Elle se traduit par une extrême sensibilité de la peau à la lumière.
Les autres photographes de la galerie
Mip Pava
Un soupçon surnaturel, un brin mélancolique aussi, le travail de Mip Pava majoritairement argentique questionne sur la temporalité, l'enfance, notre monde ou notre réalité.
Bastien Anguiano
Son approche 100% argentique, la surimpression ou encore le noir et blanc, font du travail de Bastien un monde à part, où le temps s'est arrêté. L'ensemble est rempli de douceur, de souvenirs d'enfances, de songes et de rêves.
Benjamin Mengelle
Son expérience de cameraman donne aux images de Benjamin une ambiance cinématographique. Elles semblent intemporelles. Son regard est profond, sensible, rempli de poésie.
Emmanuel Jacques
L'univers d'Emmanuel est teinté de références picturales et cinématographiques. Il construit ses images avec la lumière les décors et les mises en scène, nous permettant alors de nous immiscer dans un monde à part entre la photographie et la peinture.