Orianne Ciantar Olive
Orianne est une vraie touche à tout. En perpétuelle évolution pour acquérir de nouveaux savoirs, connaître de nouvelles approches, elle affine son regard au fil de son parcours.
Sensible et touchante, elle traite des sujets profonds avec beaucoup de justesse.
Sensible et touchante, elle traite des sujets profonds avec beaucoup de justesse.
Née à Marseille d’une mère Maltaise et d’un père franco-suisse, Orianne Ciantar Olive vit une jeunesse marquée par les déménagements et les voyages qui l’emmènera de la Camargue en Guyane, d’Europe aux Amériques.
Diplômée d’un master en cinématographie, en criminologie puis en journalisme, son approche photographique explore les zones de failles (géographiques ou existentielles) et de transitions (identitaires, culturelles, historiques) dans des environnements en mouvance. L’approche documentaire se teinte de surréel pour questionner le réel.
En 2004, résidente à Damas en Syrie, elle expose ses premiers travaux pendant le festival international de la photographie d’Alep. Elle devient alors photographe indépendante de presse et couvre l’actualité internationale, notamment au Proche-Orient, aux États-Unis et au Japon.
Diplômée d’un master en cinématographie, en criminologie puis en journalisme, son approche photographique explore les zones de failles (géographiques ou existentielles) et de transitions (identitaires, culturelles, historiques) dans des environnements en mouvance. L’approche documentaire se teinte de surréel pour questionner le réel.
En 2004, résidente à Damas en Syrie, elle expose ses premiers travaux pendant le festival international de la photographie d’Alep. Elle devient alors photographe indépendante de presse et couvre l’actualité internationale, notamment au Proche-Orient, aux États-Unis et au Japon.
Expositions :
Orianne expose régulièrement ses œuvres depuis 2004. Allant du Festival international de la photographie à Alep en Syrie, en passant par le Japon, les USA à maintes reprises elle a également exposé au Palais des congrès de Marseille en 2017 ainsi qu'au Festival Head On de Sydney ou à l'independant photography festival de Melbourne. Elle exposa dernièrement au festival In Cadaques en Espagne en 2019, au photography Art center de Minneapolis aux USA et enfin au Festival Manifesto de Toulouse en 2021.
Prix :
Winner 2011 «30 UNDER 30 WOMEN PHOTOGRAPHERS»
Mention spéciale du jury, Rehabimed/Photomed 2012.
Award 2014 of International Kontinent photo awards (USA) catégorie «editorial/documentary»
Semi-finalist Athens photo festival 2014 (Greece)
Membre d’Hans Lucas, elle a également fondé la maison de micro-édition Lose Control qui se développe actuellement en une structure complète dédiée à la photographie.
Orianne expose régulièrement ses œuvres depuis 2004. Allant du Festival international de la photographie à Alep en Syrie, en passant par le Japon, les USA à maintes reprises elle a également exposé au Palais des congrès de Marseille en 2017 ainsi qu'au Festival Head On de Sydney ou à l'independant photography festival de Melbourne. Elle exposa dernièrement au festival In Cadaques en Espagne en 2019, au photography Art center de Minneapolis aux USA et enfin au Festival Manifesto de Toulouse en 2021.
Prix :
Winner 2011 «30 UNDER 30 WOMEN PHOTOGRAPHERS»
Mention spéciale du jury, Rehabimed/Photomed 2012.
Award 2014 of International Kontinent photo awards (USA) catégorie «editorial/documentary»
Semi-finalist Athens photo festival 2014 (Greece)
Membre d’Hans Lucas, elle a également fondé la maison de micro-édition Lose Control qui se développe actuellement en une structure complète dédiée à la photographie.
Coup de 💜
L’eye-liner
La lumière, les couleurs, le clair obscur de ce portrait font penser à une peinture de la renaissance, elle nous amène à l'intemporalité de l'adolescence ou même de notre propre histoire. Et vous quel est votre coup de cœur ?
Les séries de Orianne Ciantar Olive
Gorgées de sensibilité, de vécu, de philosophie, les séries, d'Orianne nous transportent et nous questionnent sur notre propre existence.
Nous savons que nous mourrons un jour
Dans les paysages de l’enfance, les corps, l’abandon, l’amour et le temps se mélangent dans un réel fantasmé.
Sous les étoiles d’Andromède
Longtemps j'ai été silencieuse. Encerclée moi-même par des montagnes qui me semblaient infranchissables, se déplaçaient avec moi à chacune de mes fuites.
Les autres photographes de la galerie
Caroline Fernandez
C'est un doux voyage dans nos souvenirs, dans notre quotidien aussi, que nous propose Caroline. Remplies de sensibilité de douceur et de simplicité, ses images nous amènent dans son univers aux nombreuses références cinématographiques et littéraires.
Marie Magnin
Sa douce sensibilité a amené Marie à traiter des sujets émouvants et percutants, allant d'une station balnéaire touchée par la crise au devenir d’un bal musette. Grâce à son regard vrai et juste elle nous transporte dans chaque histoire avec délicatesse.
Théo Giacometti
Le travail de Théo nous transporte systématiquement. Il écrit aussi bien avec ses mots qu'avec ses images. Les histoires qu'il nous raconte sont passionnantes, allant d'un village Inuit, à des villes étouffantes de monde et d'inégalités.
Kathleen Missud
Kathleen est une photographe sensible qui a un grand sens de l'esthétisme. Avec sa série "La bonne Vie", elle crée des ponts entre les générations, rendant hommage à une époque révolue, à la vie de son grand-père, à une classe sociale et à une vision de la vie via son regard contemporain, le tout avec beaucoup d'humour.